Deux générations, une même passion

En matière de course automobile, tout est question de chronométrage ultra-précis, d’ingénierie d’exception et de design attrayant. Les amateurs de montres partagent souvent un grand nombre de ces passions. Nous nous sommes entretenus avec nos ambassadeurs Garmin MARQ® Driver, deux grands noms des sports mécaniques : René Metge, pilote légendaire du Dakar et du mans, et Bruce Jouanny, présentateur de Top Gear et ancien coureur des 24 heures. Leur récit nous transporte dans leurs aventures sportives au fil des années. Il nous montre à quel point la passion reste constante et comment cette tool watch nouvelle génération Garmin aurait été une aide précieuse à l’époque.

La précision avant tout

À l’âge de 10 ans, Bruce Jouanny a eu la chance de recevoir un kart pour Noël. Très vite, il l’étrenne dans la rue et, de sa première course à aujourd’hui, 30 ans plus tard, sa passion pour les sports mécaniques est restée intacte. « C’était une question d’instinct ! Le sens de la trajectoire, la façon dont les virages apparaissent et la capacité à prendre des risques. Je pense que la compétition fait partie de notre nature. Le secret de la réussite, c’est la passion », se souvient Bruce. « La persévérance et la quête de la perfection étaient essentielles. Et tout cela prend du temps, rien ne se fait du jour au lendemain. Vous devez entrer sur la piste, faire vos tours, encore et encore. Vous devez définir votre objectif, vous y tenir et surtout ne jamais vous en détourner. La course reste dans votre tête, 24 heures sur 24. Vous pensez… non, vous vivez la course. »

Après sa première grande victoire au championnat de France de Formule Renault, il était armé pour poursuivre sa carrière dans la course automobile. Il a réussi, non sans mérite, et a pu prétendre à une place sur la plus prestigieuse compétition d’endurance : les 24 Heures du Mans. « Nous nous sommes qualifiés à la 5e place, un rang prometteur pour la suite de la course. Ce qui a rendu cette course si spéciale, c’était de voir et de sentir le soutien de la foule française. Ça a beaucoup compté pour moi. » Mais il n’est pas toujours facile d’atteindre le sommet et d’y rester. « Quand vous suivez un objectif majeur, c’est souvent en essuyant des revers que vous apprenez et devenez meilleur. C’est une évidence, mais c’est tellement vrai : on apprend plus de ses échecs que de ses réussites. Je visais toujours le tour parfait et, avec un tel état d’esprit, vous gardez toujours ce même objectif en ligne de mire. Donc, vous vous rendez sur le circuit, encore et encore, vous continuez à tout donner et à vous entraîner jusqu’à ce que vous réalisiez ce tour parfait. »

Comme les coureurs le savent, atteindre le tour parfait est une question de précision. Non seulement au niveau de la conduite elle-même, mais aussi, et surtout, au niveau des réglages de la voiture. « Je suis un fou de la précision. J’ai passé la moitié de ma vie à analyser des données et à travailler sur les réglages des voitures. J’étais de retour en Formule Renault quand les systèmes d’enregistrement de données sont arrivés. À ce moment-là, il s’agissait d’éléments basiques tels que le tracé de vitesse, l’accélération, le freinage et les trajectoires. Mais c’était le début d’une révolution et d’une méthode de travail différente. De nos jours, les tests et le chronométrage sont très différents, et c’est pourquoi j’utilise Garmin. Je peux compter sur sa précision les yeux fermés. En gros, ma montre MARQ® Driver est un véritable système d’enregistrement de données automobiles attaché à mon poignet ! C’est difficile à croire, mais c’est exactement ça. Vous pouvez améliorer vos performances de conduite, quel que soit votre niveau, grâce à cette montre. C’est surréaliste. J’adore le cadran en titane et l’ergonomie du bracelet. Beaucoup de gens me posent des questions sur cette montre et sont souvent surpris du concentré de technologie qui peut être condensée dans un si petit objet à porter au poignet. De plus, j’apprécie beaucoup les fonctions intelligentes qui me permettent d’effectuer des paiements, d’écouter de la musique et d’utiliser des services de streaming. »

« Je suis un fou de la précision. J’ai passé la moitié de ma vie à analyser des données et à travailler sur les réglages des voitures. »
– Bruce Jouanny

La course est très exigeante, il est donc essentiel de maintenir sa forme physique à un niveau élevé pour rester concentré pendant tout un événement. « Sur ma montre, je suis les programmes d’entraînement pour le cardio et la musculation, ce qui a changé mon type d’entraînement. Savoir que je suis bien préparé et que j’ai atteint mes objectifs d’entraînement me redonne confiance. À cet égard, Garmin m’aide à affiner mes objectifs et à rester positif, sans jamais perdre de vue tous les détails de mes performances. J’ai l’impression que la montre me donne un véritable avantage. Elle indique ma fréquence cardiaque pendant les activités et me prévient même si elle est trop élevée ou trop basse. »

« Je visais toujours le tour parfait et, avec un tel état d’esprit, vous gardez toujours ce même objectif en ligne de mire. Donc, vous vous rendez sur le circuit, encore et encore, vous continuez à tout donner et à vous entraîner jusqu’à ce que vous réalisiez ce tour parfait. »

Une catégorie à part

« Nous faisions certainement partie d’une catégorie à part. Les courses auxquelles j’ai participé dans les années 1980 sont devenues légendaires, principalement grâce aux voitures que nous conduisions à l’époque. J’adorais l’ambiance, le fait de repousser ses limites et de toujours performer. C’était une période passionnante de ma vie, avec des voyages partout dans le monde, des rencontres et des moments de partage tres forts. »

René Metge – 3 fois vainqueur du Paris – Dakar

« C’est une légende. Un pionnier. Il a accompli tant de choses dans le monde de la course automobile. C’est une idole pour tous les fans de sports mécaniques. Ce qui rend rené si unique, c’est sa capacité à passer d’une voiture à une autre. »

Nous aurions été probablement nombreux à recevoir une alerte de fréquence cardiaque élevée si nous nous étions assis à côté de René Metge dans sa voiture de rallye raid dans les années quatre-vingt ! Bruce le décrit comme une légende et un pionnier. « Il a accompli tant de choses dans le monde de la course. C’est une idole pour tous les fans de sports mécaniques. Ce qui rend René si unique, c’est sa capacité à passer d’une voiture à une autre. Issu d’une époque dominée par les monoplaces, il a piloté des monstres lors des 24 Heures du Mans et a tout de même remporté le Rallye Paris-Dakar trois fois ! Après ça, il était capable de retourner sur les circuits de championnats, sport-prototypes ou supertourisme les plus difficiles. C’est incroyable. C’est presque impossible aujourd’hui, seuls quelques coureurs chevronnés en sont capables. Fernando Alonso est le seul nom qui me vient à l’esprit. C’est dire ! Et, surtout, c’est un tel personnage… personne ne lui ressemble. »

« Nous faisions certainement partie d’une catégorie à part », explique René. « Les courses auxquelles j’ai participé au cours des années 1980 sont devenues légendaires, principalement grâce aux voitures que nous conduisions à l’époque. J’adorais l’ambiance, le fait de repousser ses limites et de toujours performer. C’était une période passionnante de ma vie, avec des voyages partout dans le monde, des rencontres et des moments de partage forts. Le Dakar était une aventure unique. C’était sans conteste bien plus qu’une course dans le désert. C’est une longue aventure de plus de trois semaines. Et vous apprenez beaucoup sur vous. Contrairement aux 24 Heures du Mans, vous n’êtes pas seul dans la voiture, vous la partagez avec votre co-pilote, ce qui, parfois, devient une aventure en soi. Outre la course, ce sont les cultures étrangères, les paysages magnifiques qui le rendent si fascinant. »

René change de ton. « Mais c’était dangereux. Le type de route changeait tout le temps, vous deviez donc faire face à des défis différents chaque jour. Tout au long de la journée, vous deviez vous concentrer, faire attention à chaque détail, faire preuve du plus haut niveau de performance. Le son du moteur, l’odeur de l’essence, de l’huile, des pneus chauds et pas seulement pour un ou deux jours, mais pour des semaines. C’était bruyant, il faisait chaud. C’était épuisant et stressant. Pour lepilote et la voiture. Et nous le faisions sans aucune technologie GPS, aucun matériel pour nous aider. Ah, si nous avions eu Garmin ! D’un autre côté, il était sans doute préférable de ne pas connaître mon niveau d’adrénaline à plus de 200km/h dans le désert », ajoute-t-il en riant.

« Les systèmes de navigation existaient mais n’étaient utilisés que par l’armée. Nous devions compter sur le Road Book que nous avions préparé nous-mêmes la veille au soir de chaque étape. Il nous donnait des informations sur les conditions de la route, le type de surface, les caps, les zones de cailloux, les rochers dangereux, les zones de dunes, etc. Pendant que le pilote conduisait, le co-pilote lisait le road book en permanence, en criant littéralement les informations. Nous disposions d’informations vagues pendant les arrêts aux contrôles de passage. Il aurait été fantastique d’avoir accès dans la voiture à toutes les fonctionnalités intelligentes et les alertes, que je porte aujourd’hui à mon poignet. Je n’en reviens pas qu’aujourd’hui toutes ces données soient regroupées dans ma petite beauté, la MARQ® Driver. Le podium se joue à la minute, à la seconde près. Le chronométrage est une partie très importante de ma vie. »

Alors que Bruce fait beaucoup d’exercice pour maintenir et améliorer son niveau de forme physique, à l’époque, cela ne faisait pas partie du quotidien d’un coureur. « Dans un rallye, il y a un moment où vous avez atteint vos limites et vous devez vous surpasser. En ce qui concerne l’entraînement mental, il n’existait tout simplement pas, de mon temps. Je me souviens des 24 Heures du Mans en 1986. Au lieu de trois ou quatre pilotes, nous n’étions que deux. Après quelques heures, nous étions en tête. À la fin, j’étais totalement épuisé et j’ai perdu sept kilos en 24 heures à cause de la chaleur extrême que nous avons dû supporter dans la voiture. Nous avons remporté la catégorie. Si j’avais possédé une MARQ Driver ce jour-là, je me demande quel aurait été le niveau de ma Body Battery ! »

Le secret de la réussite

Vivre à cent à l’heure peut sembler attrayant pour beaucoup mais gagner une course n’est jamais facile. Quel est l’ingrédient clé pour remporter trois fois le Rallye Paris-Dakar ? « Je suis calme de nature mais j’ai appris les avantages à être patient », explique René. « En tant que pilote de course, vous voulez toujours aller vite. Cependant, dans de nombreuses situations, vous devez contrôler cet empressement. Pendant une course de 24 heures, tout dépend de la stratégie et de votre régularité. Si vous appuyez sans arrêt sur l’accélérateur et suivez un rythme effréné du début à la fin, la voiture ne passera pas la ligne d’arrivée. Le secret, c’est d’attendre les moments propices pour attaquer et dépasser. Cette stratégie est encore plus importante sur le Dakar, où vous passez trois semaines en voiture. Si vous attaquez dès le départ, votre voiture ne tiendra pas sur la distance. En plus d’être prudent et calme, vous devez être rapide. Évidemment. Peu importe que la course dure 1 heure, 24 heures ou 3 semaines, tenir sur la durée est essentiel. »

Et c’est exactement la raison pour laquelle la montre Garmin MARQ® Driver se démarque de toutes les autres montres : elle vous permet de gagner en rapidité. Non seulement elle contient plus de 480 circuits célèbres dans le monde déjà préchargés, mais le tachymètre et le chronographe vous permettent de chronométrer votre tour et de calculer les vitesses sur la piste. Ainsi, vous maitrisez vos performances avec des statistiques sur chaque tour. « Je consulte souvent les circuits préchargés, qui m’évoquent de nombreux souvenirs. J’utilise le GPS pour marquer certains points pendant mes voyages. J’ai l’impression d’être de retour dans la course. C’est magnifique. Outre la qualité et le design, aujourd’hui, ce sont les alertes/notifications intelligentes que j’aime le plus. Je n’entends jamais mon téléphone, maintenant, tout est sur mon poignet. E-mails, applications, musique… elle m’aide même à retrouver mon téléphone. Et je ne la recharge qu’une fois par mois. », conclut René, désormais retraité.

Bien qu’ils appartiennent à différentes générations avec une approche différente de la course, René et Bruce partagent la passion de la précision et de la perfection. Ce goût mutuel pour la qualité et le design en matière de chronométrie, ils le doivent à la MARQ Driver.

Crédits photo : Vivien Lavau, Aurélien Vialatte, Ugo Richard