Le pilote de voltige aérienne Eric Vazeille rejoint l’escadron des ambassadeurs Garmin

Eric Vazeille a toujours eu la tête dans les nuages. Les avions, c’est sa vie. La voltige, un aboutissement. Un rêve de gosse. Devenir ambassadeur Garmin, une consécration.

Eric Vazeille

« Dès mon plus jeune âge, je me suis mis à rêver à de grands espaces et à des horizons lointains, toujours aux commandes d’une machine volante… », se souvient nostalgique Eric Vazeille qui rejoint les rangs des sportifs ambassadeurs de la marque américaine aux côtés de Xavier Thévenard, Raphaël Jacquelin, Bruce Jouanny, Jérémie Beyou et Romain Ntamack.
Il représentera la montre de luxe connectée MARQ Aviator.

« Je suis né avec cette passion de l’aviation. Et j’ai pu l’assouvir très rapidement. Quand j’ai commencé à marcher, je regardais plus souvent le ciel que la terre ferme. J’étais comme happé par les Cieux. » A l’âge de 14 ans, Eric Vazeille commence à fréquenter les aéroclubs, en particulier les aéroclubs de vol à voile. « Je n’avais pas les moyens financiers pour me payer des cours d’aviation. Des heures d’avion, ça coûte cher. Je me suis donc tourné naturellement vers le planeur. Je devais avoir une quinzaine d’années. »

A force de pratique et de rencontres, un instructeur décide de le prendre sous son aile. Premiers cours. Une révélation. « Il m’a aidé à payer mes heures de vol, se rappelle Eric Vazeille. Je suis passé pilote privé, tout en poursuivant une scolarité normale. » Il est alors installé dans le Nord de la France, à Lille. Aboutissement pour tout pilote qui se respecte, la voltige l’attire rapidement.
« Il y avait un Mudry Cap 10 (*) à l’aéroclub qui me faisait de l’œil. Cette machine m’intriguait. »

La voltige, un passage obligé ? « Quand tu pilotes des avions, à un moment donné, il arrive que tu aies envie d’aller plus loin… Or la voltige est synonyme d’excellence, de précision, de finesse, de réglage. C’est un nouveau monde qui s’ouvre à toi. Et une fois embarqué dans l’univers de la voltige, difficile de faire marche arrière et de ne pas succomber à la tentation de la compétition. C’est la suite logique. »

La compétition comme une évidence. « Ça coulait de source. C’était un vrai besoin. J’enchainais les figures de voltige. J’avais besoin de cette adrénaline. De me challenger face à d’autres concurrents. Ne serait-ce que pour continuer à progresser. Maintenir une rigueur quasi militaire. Sans compétition, tu perds progressivement l’envie. La perfection, ça se travaille. Et en voltige, tu vises le vol parfait. »

Eric Vazeille tente un passage à l’armée. « Je voulais être pilote de chasse, un métier que je trouve fantastique. J’ai rapidement fini par démissionner. Je ne pouvais pas continuer. Je me suis rendu compte que ce n’était pas une carrière pour moi. J’avais besoin de beaucoup plus de liberté. Ce que ne pouvait pas m’apporter l’Armée de l’Air. »

Retour à la vie civile au début des années 90. « Nous sommes en pleine Guerre du Golfe. Le marché de l’aviation était assez bouché à ce moment-là. Impossible d’envisager une carrière de pilote de ligne. » Son club lui propose alors de participer à des compétitions de voltige aérienne sur des avions école. Il accepte. « J’ai aussitôt été repéré par l’entraîneur national. Il avait de belles ambitions pour moi. Je suis donc allé à la banque et j’ai emprunté de l’argent pour aller faire de la voltige. Un truc qu’on ne ferait sans doute plus aujourd’hui. »

La suite, on la connaît. Eric Vazeille est devenue un as du pilotage. Une pointure. Celui que l’on s’arrache. « Je suis entré en équipe de France deux ans plus tard. Et j’en ai fait une activité à plein temps. » Pendant près de 10 ans, le pilote s’offre le Ciel comme terrain de jeu. « J’exerçais en qualité d’instructeur en aéroclub en parallèle. » Il arrête la compétition en 2000.

Quand on excelle dans un domaine, on finit par transmettre. Eric Vazeille va donc coacher pendant 11 ans en qualité d’entraîneur national les futures pointures de la voltige. « L’équipe nationale anglaise d’abord. Puis l’équipe de France entre 2014 et 2018. » ( pendant 11 ans l’équipe britannique de 2002 à 2013, puis l’équipe de France ).

Quand il n’est pas dans un prototype (son CAP 222), Eric Vazeille est encore et toujours dans un avion. « Je suis souvent dans les airs. C’est clair ! » Depuis 1998, le sympathique quinquagénaire pilote des airbus et autres avions de ligne. D’abord dans une petite compagnie aérienne inter-régionale, puis chez AOM en 2000. « Avant d’être licencié pour motif économique en 2001. » Depuis 2002, il officie chez Air France.

La voltige étant « une passion qui lui colle à la peau », le pilote propose aujourd’hui des shows aériens, destinés à tous les amoureux de l’air. « J’ai monté un spectacle pyrotechnique avec Bertrand Boillot, qui mêle voltige et art. Nous sommes la patrouille « Carnet de vol ». »

Les prochaines sessions de voltige se feront avec une Garmin au poignet ? « C’est certain ! Quand on devient ambassadeur Garmin et que l’on a la chance de porter une montre aussi prestigieuse, aussi technique et aussi fiable que la MARQ Aviator, ça n’est certainement pas pour le laisser dans un tiroir ! »


La MARQ Aviator est une montre connectée haut de gamme, taillée pour accompagner les pilotes dans toutes leurs sorties aériennes. Garmin, déjà très présent dans l’aéronautique, propose désormais un véritable instrument professionnel enchâssé dans un boîtier d’une élégance extrême pour être portée en vol et après l’atterrissage. Parée d’un bracelet articulé en titane inspiré de l’univers de l’aviation, d’une lunette GMT en céramique noire polie et d’un système de micro-ajustement pour un confort parfait, la montre embarque une multitude de fonctions :  base de données mondiale des aéroports, bouton d’alerte, compas, cartes présentant des détails aéroportuaires, navigation « direct-to », technologie radar météo Nexrad, etc. Et bien sûr, elle est compatible avec les afficheurs de cockpit Garmin.

* Le CAP 10, construit par Apex Aviation, est un avion de voltige aérienne.